mes livres

voici mes livres

posté le 31-03-2012 à 13:29:02

Chapitre 4 : le retour

Chapitre 4 : le retour

 

Je me réveillais dans ma chambre avec un

pansement sur le crâne, j’essayais de me

relevais mais mon crâne ne me le permettait

pas.

Je remarquai qu’il y avait une ombre dans un

coin, et tous ce qui s’était passé hier me

revint en tête : l’entraînement, Alex’, le défi,

le semi, et le loup.

OUI le loup, se loup je sais qui s’était, s’était,

Nate ; un loup qui était un ami d’enfance

jusqu’à ce qui s’en aille, on ne sait pas bien où

il est allé, mais il paraît qu’il voulait se

« métriser » (des fois on n’est pas maître de

notre transformation, comme je l’ais fais

hier).

Je passe mes jambes par-dessus mon lit et

descend dans l’imposante salle à manger de

mes grands-parents.

Ma grand-mère me lança :

« Ma chérie comment ça va ?

- Sa peut aller

Mon grand-père intervint

- Tu sais qui ta porter après que tu te sois

retransformé sous le choc ? Sais-tu qui ta

ramené ici ?

- NON dis-je

- C’est Nate, Nate ta ramené ici. »

Aussitôt je me couvris de mes mains (quand

ont se retransforment ont est tout(e) nu je

sais  ce n’est pas très glorieux)

« Non ne t’inquiète pas ton amie, Alexandra ta

mise une couverture sur toi. Une bien gentille

fille me rassura mon grand-père

- Oui répondis-je »

Mais j’avais la tête ailleurs. Que voulais Nate

en me sauvant ?

Pourquoi m’avait-t-il ramené chez moi ?

Je n’eus pas le temps de réfléchir que déjà le

beau loup aux yeux dorés entra dans la pièce,

salua mes grands-parents et immédiatement

posa son regard sur moi.

 


 
 
posté le 31-03-2012 à 13:37:14

Chapitre 5 : Nate

Chapitre 5 : Nate

 

Ces yeux pétillaient d’angoisses et de bonheurs.

Il ne bougea pas, mais se baissa et me renifla,

je fis pareils (signe de respect chez les loups),

Il se redressa et me lança :

« Salut. Avec un sourire ironique le truc à faire fondre un chamalot sans feu. Pourtant je restais de glace. Ça va mieux ? Continua-t-il 

- Oui ça va mieux et merci de m’avoir sauvé

- De rien se fut un plaisir. »

J’en eu le souffle coupé, Vous ne pouvez pas

savoir l’influence qu’il avait sur moi. Je le haïssais de m’avoir laissé toute seule sans défense mais il avait une telle influence, pourtant j’obliger mes yeux à dirent le contraire, je les faisais pétillaient de rage.

Il le vit, mais dit sans se démonter :

« Tu peux venir une seconde. »

J’étais déconcertais, pourtant je hoché la tête.

Il me prit par la main, je tressaillis : il avait le corps plus chaud que le mien.

Et un corps plus chaud que le corps d’un garou

ça ne court pas les rues …

Nous sortîmes et la lumière de la lune posa ses rayons argentins sur lui, il était magnifique, Je remarquais que ses cheveux étaient en bataille il devait être rentrait de la chasse.

« Pourquoi es-tu rentrer ? Dis-je

- Pour te voir

- Pourquoi ? Ça fait sept ans Nate !

- Je sais, mais tu me manquais

- Tu as que sa comme excuse bidon ?

- Et aussi parce que Je … je …

- Oui ?

- Je t’aime »

Ça me choqua, je restai sur place, il s’avança et

je ne reculai pas. Il me dit :  

« Je dois Partir, mais avant je veux essayer

quelque chose »

Il se pencha rapprochant ses lèvres de plus en

plus de moi, Je ne reculais pas et n’essayer pas

de me dégager de son emprise, je senti son

souffle sur ma peau et il fit quelque chose d’absurde, il m’embrassa.

Comme un papillon effleure une rose puis avec

plus d’emprise comme si il allait m’avaler toute crue, soudain comme  quand s’était arrivé, il me lâcha et s’en alla. 

 


 
 
posté le 31-03-2012 à 17:05:16

Chapitre 6 : Le cauchemar

Chapitre 6 : Le cauchemar

Il m’a embrassé, il m’a embrassé, je ne bougeai

pas je restai sous les raillons de la lune et me

transformais. Je voulais me dégourdir les pattes, après ce qui s’était passé, m’évader, chassé en toute liberté.

Je rentrai dégoulinante de boue et d’eau (il avait plu). Anne qui s’occupe de tout, (je l’appelle Nanny, parce que c’est elle qui m’a aider quand ma mère est partit) me vit, je ne mettais pas encore retransformer, elle me donnât un bon bain chaud. Après mettre métamorphoser, je lui raconter ce qui s’était passé avec Nate. Elle me dit :

«Tu vas en faire tomber plus d’un ma chérie.

- Nanny je ne suis pas prête pour avoir un petit ami, je l’aime mais je le haïs en même temps, que dois-je faire Nanny ?

- L’amour n’est pas loin de la haine ma chérie,

laisse le temps décider. »

Je l’embrassais et filais dans ma chambre

Je ne m’habillais pas, je m’étais qu’un sous-vêtement et me glissais dans mon lit, où je m’endormis profondément.

J’étais la a 1 mètre de lui, il avait le corps

ruisselant d’eau, il pleuvait, il était devant moi

tellement beau, je m’approchai, l’embrassais

quand tout à coup un semi se jeta sur lui, je me

transformer essayant de l’aider, le semi

l’emporta avec lui, je ne le voyait plus, il y avait

du brouillard, je sentais l’odeur du sang, je

poursuivais sa trace et  m’arrêtais brusquement

en voyant une silhouette de loup, mort, fourrure

doré, trempé de sang, Nate .

 


 
 
posté le 31-03-2012 à 17:13:39

Chapitre 7 : la course

Chapitre 7 : la course

 

Je me réveillais en sursaut, regardais dans ma

chambre, sous mon lit, partout, je mis trente minutes à me calmer, réalisant que s’était qu’un rêve, ou plutôt un cauchemar, puis tout me revint en tête : le baiser, la chasse, Nanny, le rêve, Nate.

Je n’avais pas mesuré à quel point je tenais à lui.

Malgré ma haine….

Je descendis voir mes grands-parents, il était tôt, la meute était partis en chasse.

C’est pourquoi je me transformer et m’engageais

sur un chemin de notre propriété qui mener au bois.

Quand j’entendis un bruit, j’étais à découvert et

le vent n’était pas en ma faveur, mais Nate apparut comme si de rien n’était. Il me regarda, (il ne s’était pas transformer) Je m’avançais prudemment.

Il me caressa ma grosse tête noir, alors que

j’allais m’assoir à côté de lui, des louveteaux surgis, ils ne s’étaient pas transformer, ils adoraient quand je l’ai prenait sur mon dos. Je me couchai et leurs fit signe du museau. Aussitôt ils grimpèrent sur moi

Ce qui laissa échapper un petit rire a Nate. Il

plongea ses yeux dans les miens, je grognais aux louveteaux de rester bien accrocher (Nate le traduit), même si les loups ont un potentiel de  guérison incroyable, je ne veux pas courir le risque dans tuer un …   

Je partis, d’abord doucement, puis à la vitesse

de l’éclair, que nous les loups avons et que nous connaissons bien (ont l’utilisent pour chasser les vampires quand ils sont sur notre territoire …) 

Je regardais les louveteaux si joyeux, si

content, ce n’était rien pourtant, Ils étaient des poids plumes pour moi. Je m’arrêtais, s’était tout pour aujourd’hui, soudain un beau loup surgis et je grognais aux louveteaux de se transformer et de rentrer chez eux, Ils s’exécutèrent, Je regardais longtemps Nate, jusqu’à ce qu’ils se mettent  en position de jeu, je fis pareils, et nous partîmes dans une course effrénée, il était rapide, très rapide, mais il était plus lourd que moi.

Pourtant nous arrivons  éxéco et rentrâmes à la

maison en parlants de tout et de rien.

Je devais me lançais il aurait bien fallut

aborder le sujet de : Pourquoi es- tu partis ?, tu m’as laissé toute seule ! Qu’es que tu es allé faire là-bas ?? Enfin toute ces choses.

Je lui dis :

« Quesque tu es allé faire pendant ton grand

séjour de sept ans pour te « contrôler » ?

- J’ai développé agilité, vitesse, et précision.

Sans parler du fait que je ne me transforme plus pour un oui ou pour un non.

- Comment as-tu fait pour te contrôler ?

- Eh bien, mon père qui se contrôle absolument bien m’a appris.

- Comment il t’a appris ?

- Ben, en se battant avec moi ! ^^

- AH ………….. D’accord, et c’était dur ?

- Ben au début oui, je me transformer toujours, j’ai dû mettre trois ans pour me contrôler.

- trois ans …

- Et oui, trois ans

-Et les quatre autres années, je te rappelle que tu es parti sept ans

- Exact, Les quatre autres années se sont concentrées sur mon entraînement, et ça ma servit, parce que si je n’avais rien fait pour toi,  dieu sais ce qui serait advenue de la belle louve au pelage noir et aux yeux d’or. »

Je le fixai, nous arrivâmes bientôt à la maison

(enfin à ma maison parce que lui hein ….).

Il me déposa a la porte d’entrer, m’embrassa

dangereusement près de la commissure de mes lèvres, et me dit bonne nuit.

C’était l’heure du dîner ma grand-mère était au

fourneau, je vis mon grand-père préparer ses manteaux d’hiver, c’est vrai qu’il arriver plus vite que d’habitude cette année, Mon père était partis en voyage d’affaire, il ne reviendra pas avant cinq ans, eh oui, je suis habitué, je me mettais à table, la salle à manger était imposante comme pas deux, mes grands-parents me rejoignirent, ils m’expliquèrent que aujourd’hui c’était dimanche et que le dimanche on hurler à la lune ….

« Est-ce qu’il y aura Nate ? Dis-je

- tous les loups dit mon grand-père

- Même toi renchérit ma grand-mère

- OK soupirais-je

Je montais dans ma chambre et m’habillais avec

une robe assortie à  mes yeux que je maquillais de noir. Ont allaient peut-être se transformer, mais pour se rendre au rendez-vous de la lune, il fallait être présentable. J’enfilais mes escarpins, un châle et me précipitais dehors.

 


 
 
posté le 31-03-2012 à 17:17:20

Chapitre 8 : le hurlement à la lune

Chapitre 8 : le hurlement à la lune

 

Nous grimpons dans la montagne, nous avions

construit, une sorte de route pour que le chemin, (quand ont n’étaient pas transformer) sois plus facile.

Moi et mes grands-parents arrivions au sommet

de la montagne, déjà pleins de loups nous y attendaient, mon grand-père de sa grosse voie dit :

« Loup de ma meute, transformez-vous, pour

chanter avec moi »

Tous les loups et louves se transformèrent, moi

y compris, mais je ne vis pas Nate, je le cherchais et finis par le trouver, il me jeta un regard et se rapprocha de moi, nous nous retrouvions côte à côte à regarder mon grand-père, nous échangèrent un regard et le hurlement à la lune commença :

Mon grand-père de sa voix grave hurla, puis

d’autres loups se joignirent à lui, je vis Nate commencé à lever le museau vers la lune et hurler, son chant se mêla aux autres mais aucun n’était aussi beau. C’était bientôt aux louves de hurler, ma grand-mère commença, je la suivi et bientôt tous les loups et louves chantèrent a l’unissons c’étaient vraiment magnifique.

Nous avions finit de « chanter », et je voulais

trouver Nate, pour parler du  baiser, je le vit en train de parler à des amis. Je m’avançais et demander à ses interlocuteurs si je pouvais le kidnappé. Je m’éloignais avec lui

« Quesque tu as à me dire ? demanda-t-il

- C’est en ce qui concerne le ….. Le ……

- le baiser ? ^^

- Oui

- Et …. ?

- je ne peux pas avoir de petit ami

- …………

- Je suis désolé, j’ai des sentiments pout toi, autres que l’amitié, mais je ne suis pas prête.

- je comprends, mais je t’aime et je peux attendre le temps qu’il faudra

- Nate ………………

- Chut ……. S’il te plaît, je dois partir retrouver mes parents. »

Il m’embrassa sur le front avec regret, s’éloigna

et se transforma, se retourna, m’adressa un dernier regard et partit.

 


 
 
 

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