Chapitre 5 : Nate
Ces yeux pétillaient d’angoisses et de bonheurs.
Il ne bougea pas, mais se baissa et me renifla,
je fis pareils (signe de respect chez les loups),
Il se redressa et me lança :
« Salut. Avec un sourire ironique le truc à faire fondre un chamalot sans feu. Pourtant je restais de glace. Ça va mieux ? Continua-t-il
- Oui ça va mieux et merci de m’avoir sauvé
- De rien se fut un plaisir. »
J’en eu le souffle coupé, Vous ne pouvez pas
savoir l’influence qu’il avait sur moi. Je le haïssais de m’avoir laissé toute seule sans défense mais il avait une telle influence, pourtant j’obliger mes yeux à dirent le contraire, je les faisais pétillaient de rage.
Il le vit, mais dit sans se démonter :
« Tu peux venir une seconde. »
J’étais déconcertais, pourtant je hoché la tête.
Il me prit par la main, je tressaillis : il avait le corps plus chaud que le mien.
Et un corps plus chaud que le corps d’un garou
ça ne court pas les rues …
Nous sortîmes et la lumière de la lune posa ses rayons argentins sur lui, il était magnifique, Je remarquais que ses cheveux étaient en bataille il devait être rentrait de la chasse.
« Pourquoi es-tu rentrer ? Dis-je
- Pour te voir
- Pourquoi ? Ça fait sept ans Nate !
- Je sais, mais tu me manquais
- Tu as que sa comme excuse bidon ?
- Et aussi parce que Je … je …
- Oui ?
- Je t’aime »
Ça me choqua, je restai sur place, il s’avança et
je ne reculai pas. Il me dit :
« Je dois Partir, mais avant je veux essayer
quelque chose »
Il se pencha rapprochant ses lèvres de plus en
plus de moi, Je ne reculais pas et n’essayer pas
de me dégager de son emprise, je senti son
souffle sur ma peau et il fit quelque chose d’absurde, il m’embrassa.
Comme un papillon effleure une rose puis avec
plus d’emprise comme si il allait m’avaler toute crue, soudain comme quand s’était arrivé, il me lâcha et s’en alla.